Rédigé quelques sections.

This commit is contained in:
Georges Dupéron 2011-12-14 10:18:19 +01:00
parent bb199a5e89
commit 752c923c19

View File

@ -205,15 +205,18 @@ perdre beaucoup en expressivité.
\section{Alphabets et logogrammes}
% Différences entre alphabets et les *grammes*. Expliquer brièvement leurs propriétés.
% TODO : parler des idéogrammes etc.
% Différences entre alphabets et les idéogrammes & co. Expliquer brièvement leurs propriétés.
\subsection{L'alphabet}
% \subsubsection{Ses origines}
% \subsubsection{Dans quel but}
% \subsubsection{Des exemples}
% \subsection{Les supports}
\subsection{idéogrammes}
\subsection{etc.}
% TODO : titre pourri !
\subsection{Représentations}
\subsubsection{Le morse}
Le code Morse est généralement attribué à Samuel Morse. Ce code à été inventé pour la télégraphie en 1835.
@ -256,25 +259,62 @@ donc les symboles sans qu'il y ait besoin d'analyser tout le flux précédent. C
pour le Morse, très faible.
\subsubsection{La langue des signes}
Très court hitorique et but.
\subsubsection{Documents techniques}
LSF : encodage des lettres, mais aussi sens. Aussi difficile à apprendre qu'une nouvelle langue.
Beaucoup d'ambigüité sur les signes, dans la direction, la vitesse…
Ordis peuvent le parler (Projet IBM), mais difficile à comprendre.
Aussi expressif que langue naturelle.
\section{Langages spécifiques à un domaine}
\subsection{Documents techniques et formules mathémathiques}
% TODO
Les vues regroupes un grand nombre de représentation très formelle d'objets ou éléments sur un support. Qu'elle soit
en perspective, d'ensemble, de coupe, éclatée etc, les vues sont normalisées et laissent place à très peu, voire aucune ambigüité dans les
représentations.
De ce fait il est assez simple de stocker sur un machine ce genre d'informations et même de les restituer, par exemple sous
forme visuelle (sur un écran).
Les documents techniques, parmi lesquels ont peut trouver différentes vues d'objets (vue en perspective, d'ensemble, de coupe, éclatée…),
sont des représentation très formelle d'objets ou de concepts. Leur forme est en général assez facile à apprendre pour les humains, car il
s'agit simplement d'un certain nombre de règles à respecter. Ces documents techniques sont normalisées et laissent place à très peu, voire
aucune ambigüité dans les représentations.
\subsubsection{Les formules mathématiques}
Les formules mathématiques représente une des représentation les plus normalisées, même si les personnes ont tendance à
adapter les représentation, symboles mathématiques à leurs besoins.
Les formules mathématiques ont une "expressivité" relativement importante. Leur inconvénient majoritaire se trouve au niveau
du lien entre une formule et son contexte.
En effet il est très difficile de retrouver le contexte d'une formule lorsque celle-ci est déjà écrite et isolée.
Les formules mathémathiques forment un autre protocole similaire aux documents techniques, très formel, bien que beaucoup de personnes aient
tendance à être laxistes sur la syntaxe.
L'expressivité de ces protocoles est toutefois relative : Tant que l'on considère uniquement leur domaine d'application, ils restent très
expressifs (quoi de mieux qu'une formule mathémathique pour parler d'algèbre ?), cependant ces protocoles ne formalisent pas la relation
entre les choses exprimées et leur contexte. En effet il est très difficile de retrouver la sémantique d'une formule lorsque celle-ci est
déjà écrite et isolée, et si nous comprenons à quoi se réfèrent les formes dessinées dans une vue éclatée, c'est uniquement par analogie
avec les objets physiques que nous connaissons déjà. De plus, ces protocoles ne sont expressifs que dans une discipline particulière.
Il est assez simple de stocker sur une machine des documents techniques ou des formules mathémathiques et même de les restituer, par exemple
sous forme visuelle (sur un écran). Ces protocoles sont relativement faciles à apprendre, et compréhensibles pour une machine, sont très
expressifs mais seulement dans leur domaine. Ils peuvent donc être adaptés à la communication homme-machine dans un domaine particulier,
mais pour une communication généralisée, il faudra les utiliser conjointement avec d'autres protocoles.
\subsection{Langages de programmation spécifiques à un domaine}
Difficiles à apprendre, mais pas trop, et être un expert du domaine aide beaucoup.
Ambigüité faible.
Expressivité forte, mais seulement dans le domaine.
Exemples : BCL, …
\section{Conclusion}
Graphique de comparaison des différents supports en terme d'expressivité et de formalismem.
Graphique de comparaison des différents supports en terme d'expressivité et de formalisme.
Ouverture : une collection de langages spécifiques à un domaine : Un pour le déroulement global de la conversation, un ou plusieurs
permettant de faire la liaison entre les concepts et relations exprimés dans différents protocoles, puis un pour chaque domaine pour lequel
on veut converser avec la machine. Cela exige un effort d'apprentissage plus élevé pour l'agent naturel, car il faut qu'il apprenne un
nouveau protocole pour chaque dicipline. Cependant, cet effort d'apprentissage est morcelé : l'utilisateur peut commencer par apprendre
seulement quelques protocoles, converser avec la machine, puis au fil des besoins apprendre de nouveaux protocoles au fur et à mesure.
Pour résumer, l'utilisateur dialoguerait avec la machine en utilisant une multitude de «jargons» adaptés à une communication efficace et
sans ambigüités dans leur domaine, et quelques protocoles transversaux pour articuler la discussion et relier entre eux les fragments de
conversation rédigés dans des langages différents.
%schéma montrant cette architecture.
\end{document}