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\documentclass[french,a4paper]{article}
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\usepackage[utf8]{inputenc}
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\usepackage[T1]{fontenc}
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\usepackage[frenchb]{babel}
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\title{FMIN327 Cognition individuelle et collective\\ Protocoles artificiels entre agents naturels}
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\author{BONAVERO Yoann \and DUPÉRON Georges}
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\begin{document}
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\maketitle
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\tableofcontents
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\newpage
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\section{Introduction}
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\subsection{approche générale}
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Tout individu quel qu'il soit, privé de toutes formes de communication,
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d'émotions et de sensations, ne peuvent en aucune manière évoluer et
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former de groupes cohérents. L'intégrité et la cohérence d'un groupe
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passe majoritairement par un échange d'informations entre les individus.
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Celles-ci ne peuvent pas être transmises n'importe comment, les individus
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constituant le groupe doivent être en mesure de les comprendre.
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Le formatage de l'information devient essentiel tout comme le
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support qui va être utilisé pour la transmettre.
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Au fil du temps les individus ont apris à échanger des idées et des
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concepts de diverses manières. Que ce soit par le biais de gestes, de
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dessin, de rictus ou bien d'autre, les hommes ont petit à petit mis en
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place un moyen de communication efficace. Toutes ces façons de
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transmettre l'information ont sans cesse évolué pour répondre en
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permanance aux besoins.
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Dans la communication il est possible de regrouper en deux grandes
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catégorie les protocoles de communication. Il y a ceux qui sont
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"naturels" et ceux qui sont engendré par un "individu" dit artificiels.
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\subsection{Les limites}
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Dans cette présentation nous nous limiterons aux seul protocoles
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artificiel et plus précisément aux protocoles artificiels formels. En
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d'autre termes ceux qui ont normes, règles bien définis, qui permettent
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de définir ce protocole de manière unique et sans ambiguïtées.
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Les autres limites sont celles définies par le sujet lui même
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"protocoles artificiel" et "agent naturels". Nous de traiterons pas de
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la communication entre agent artificiels comme les robots.
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\newpage
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% L'espéranto.
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\section{Une langue artificielle : L'Espéranto}
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\subsection{Présentation}
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\subsection{Origine et objectif}
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\subsection{Principe de fonctionnement}
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\subsection{...}
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% Alphabet et supports
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\section{Alphabets et supports}
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\subsection{L'alphabet}
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\subsubsection{Ses origines}
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\subsubsection{Dans quel but}
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\subsubsection{Des exemples}
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\subsection{Les supports}
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\subsubsection{Le morse}
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Le code Morse est généralement attribué à Samuel Morse. Ce code à été inventé pour la télégraphie en 1835.
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Il consiste en une série d'impulsions. Les lettres, chiffres, signes de ponctuation sont représenté par des séries d'impulsions.
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Seulement deux types d'impulsions son nécessaires pour tout coder, une impulsion courrte que l'on appelle généralement
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"Point" et une impulsion longue appellée "Trait".
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Co code possède un très faible expréssivité du fait d'un nombre important d'impulsions utilisées pour un seul caractère.
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Ce code est considéré comme le précurseur des communications numériques que l'on connait.
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Les militaire ont utilisé ce code pour effectuer des transmission codées, et même si un spectre de fréquence radio et toujours
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réservé pour les sueles émission en morse, ce code n'apporte pas de grand intérêt en terme de communication homme-machine.
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\subsubsection{Le braille}
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Le braille est une manière de représenter l'alphabet. il consiste en une représentation en relief de l'ensemble des lettres, chiffres, ponctuation, sumboles etc
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en relief. Il a été étudie pour permettre un lecture simplement avec les doigts. Le braille a été mis au point par Louis Braille en 1824 et
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reste aujourd'hui après une série de réformes et normalisation toujourstrès utilisé.
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Ce code est un peu plus expressif que le code Morse vu précédement puisqu'il permet de représenter la majorité est symboles par
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une seule cellule. Cependant l'utilité dans l'échange homme-machine reste, comme pour le Morse, très peu utile.
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\subsubsection{La langue des signes}
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\subsubsection{Les vues}
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Les vues regroupes un grand nombre de représentation très formelle d'objets ou éléments sur un support. Qu'elle soit
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en perspective, d'ensemble, de coupe, éclatée etc, les vues sont normalisées et laissent place à très peu, voire aucune ambigüité dans les
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représentations.
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De ce fait il est assez simple de stocker sur un machine ce genre d'informations et même de les restituer, par exemple sous
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forme visuelle (sur un écran).
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\subsubsection{Les formules mathématiques}
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Les formules mathématiques représente une des représentation les plus normalisées, même si les personnes ont tendance à
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adapter les représentation, symboles mathématiques à leurs besoins.
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Les formules mathématiques ont une "expressivité" relativement importante. Leur inconvénient majoritaire se trouve au niveau
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du lien entre une formule et son contexte.
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En effet il est très difficile de retrouver le contexte d'une formule lorsque celle-ci est déjà écrite et isolée.
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\section{conclusion}
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Graphique de comparaison des différents supports en terme d'expressivité et de formalismem.
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\end{document}
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